Je suis assis dans un café du centre-ville particulièrement bondé ce soir, rentrée étudiante oblige, parmi lesquels une nouvelle cohorte de «p’tits nouveaux» qui découvrent ce café, cet endroit de prédilection propice aux échanges entre amis et ou collègues-étudiants, propice aussi pour aider à passer au travers les nombreuses heures d’études qui les attendent lors de la nouvelle année scolaire.
Le centre-ville, son terrain de jeu. Les petits cafés de la rue principale, son quartier général. Le flâneur urbain est toujours à l'affût de l'étincelle, de l'instantané, de l'émotion lui servant de point de départ à l'écriture d'une histoire, prenant tantôt la forme d'une nouvelle, d'une chanson, d'une réflexion, parfois même d'un croquis à main levée. Selon lui, flâner ne veut pas toujours dire perdre son temps...
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mercredi 4 octobre 2017
Béatrice
Assis dans un café du centre-ville, je suis apostrophé par un individu, que je prends deux secondes et quart à reconnaître. Voilà, je le replace. Un dénommé Didier, ami d’enfance pas toujours très futé, qui demeurait à l’époque à quelques maisons de chez-moi, dont j’avais perdu la trace l’été de notre passage au niveau secondaire. École publique pour moi, déménagement et collège privé pour lui… et sa sœur, Béatrice.
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