Le centre-ville, son terrain de jeu. Les petits cafés de la rue principale, son quartier général. Le flâneur urbain est toujours à l'affût de l'étincelle, de l'instantané, de l'émotion lui servant de point de départ à l'écriture d'une histoire, prenant tantôt la forme d'une nouvelle, d'une chanson, d'une réflexion, parfois même d'un croquis à main levée. Selon lui, flâner ne veut pas toujours dire perdre son temps...
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dimanche 28 mai 2017
Mal de tête
Fait plutôt rare, à noter à l’agenda selon ma blonde. Je ne suis pas certain d'avoir envie d'aller passer du temps à écrier dans un Café du centre-ville ce soir. Mauvaise nuit de sommeil dans le corps, journée éreintante au bureau et mal de tête carabiné bref, les éléments sont réunis afin que je passe une soirée relaxe, tranquille, dans le confort de mon foyer.
Finalement, une fois le souper terminé et la vaisselle lavée, je décide tout de même de m'y pointer, ayant toujours en mémoire cette fameuse soirée où j'étais sensiblement dans le même état, dans le même mood, s'étant soldée par mon meilleur texte de chanson écrit jusqu'à présent. Je me dis qu’au pire, j'aurai bu mon café tellement rapidement qu'il n'aura pas eu le temps de refroidir. Et au mieux, j'aurai écrit quelque chose de potable.
Trente secondes
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