J’entre dans un Café du centre-ville par une soirée chaude, caniculaire même, la première de l'été. On va se le dire, nous avons eu droit à un printemps assez ordinaire, côté température du moins. Juste à porter un coup d’oeil au nombre d’heures d'ensoleillement, à la quantité de précipitations reçues ou pire, aux nombreuses inondations dans la vallée du St-Laurent et en Outaouais pour constater que la saison qui précède l'été va passer à l'histoire, ou pas.
Le centre-ville, son terrain de jeu. Les petits cafés de la rue principale, son quartier général. Le flâneur urbain est toujours à l'affût de l'étincelle, de l'instantané, de l'émotion lui servant de point de départ à l'écriture d'une histoire, prenant tantôt la forme d'une nouvelle, d'une chanson, d'une réflexion, parfois même d'un croquis à main levée. Selon lui, flâner ne veut pas toujours dire perdre son temps...
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